Littérature étrangère, Livres

« De si bons amis » de Joyce Maynard

va n’est que pure bonté. Elle offre sans compter. Orphelins dans la détresse, clochard affamé, chiens errants, elle les prend tous sous son aile. En plus d’être leur amie, Helen devient l’assistante artistique d’Ava et de Swift, qui nourrissent de nombreux projets trop lourds à porter pour leurs épaules. N’est-ce pas merveilleux quand travail et amitié se marient si bien ? Car Ava l’a décrétée, désormais elles sont amies pour la vie.

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Billets d'humeur, Société

Le JT de mes rêves

On ne calcule plus le succès du JT en part d’audimat mais en pourcentage d’individus qui sautillent et virevoltent à la fin du programme. Les gens se serrent dans les bras, exultent, retournent travailler en forme, même ceux qui étaient en arrêt maladie de longue durée.

Billets d'humeur, Féminisme, Société

Qui élève nos enfants ?

Temps de lecture : 4’16 Vous êtes expatriés dans une grande ville asiatique. Vous occupez un poste à responsabilité, vous gagnez beaucoup d’argent, et vous en avez besoin parce que là-bas tout coûte cher, très cher — un an d’enseignement en école maternelle : 17 000 €. Vous travaillez beaucoup. Le matin un taxi vous emmène au bureau,… Lire la suite Qui élève nos enfants ?

Billets d'humeur, Livres, Société

Amazon, plus grand éditeur de tous les temps

C’est l’épiphanie du jour : Amazon est désormais un éditeur capable de dénicher des talents vieux de… 130 ans. Merci à toi Amazon de nous avoir fait découvrir cette « nouvelle publication d’Emile Zola » rien que pour nous.

Billets d'humeur, Société

Catsi est revenue !

Un soir, foutue pour foutue que je me dis, je tente, une dernière fois, de réinviter, Catsi75 à jouer contre moi. Et là, miracle, elle répond positivement. Danse sacrée dans le salon ! La première chose que je dois dire, c’est que bien évidemment la première partie que nous avons jouée l’une contre l’autre, je l’ai perdue. Moi qui avais la baraka début janvier, il n’en reste plus rien. La deuxième, c’est j’ai réalisé que son pseudo n’était pas « Catsi75 » mais « Catsi ». Je devais être en proie à une crise de delirium tremens à imputer à mon état lorsque je vous avais fait part de la triste nouvelle.

Littérature étrangère, Livres

« Une douce lueur de malveillance » de Dan Chaon

Il y a un homme. Dustin, la quarantaine, marié, père de deux adolescents, Aaron et Dennis. Il exerce le noble métier de psychologue – c’est moi ou il y a souvent des psys dans les romans américains ? RAS. Ça se corse doublement pour Dustin quand il apprend que son frère adoptif, un certain Rusty, est innocenté du quadruple meurtre dont il a été accusé trente ans plus tôt par… Dustin himself. Qui avait été tué ? Les parents et l’oncle et la tante de Dustin et de Rusty. Ça continue de se corser quand un des patients de Dustin, un flic sur la touche, amène sur le tapis une histoire d’étudiants retrouvés noyés. D’après la police c’est la faute à un mix d’alcool, de glissade sur un chemin verglacé en contrebas duquel coule une rivière.