toutes les chroniques littéraires & les billets d'humeur de virginie manchado
J’ai posté mon premier blog le 10 octobre 2018. Depuis cette date, j’ai posté 46 blogs sur des livres, j’ai donc lu 46 livres en un an et trois mois. En fait, j’en ai lu bien plus que cela parce que je ne m’appesantis pas sur tous les livres que je n’aime pas. Je vais arrondir en disant que j’ai lu 65 livres depuis le 10 octobre 2018...
Un sentiment d’avoir fait un grand voyage sans vous être beaucoup déplacée vous étreint. Chez vous vous vous enroulez sous une couette douillette et acceptez l’invitation de Morphée qui vous tend ses bras généreux.
S’il y a une photo que je regrette de n’avoir pas prise durant mon séjour florentin, c’est celle du tag « Tourist go home » sur un panneau de circulation, image que j’ai vue dans les premières heures qui ont suivi mon arrivée à Florence et qui a donné le ton de mon séjour. Bien sûr, la première chose à admettre, c’est que j’étais moi-même une touriste. Oui, et c’est en ce point que ce séjour a été un point de réflexion. Mille et une questions ont surgi et occupé mon esprit : Comment visiter une ville sans être touriste ?...
Quelle somme serions-nous prêt à débourser pour un croque-monsieur ? La question se pose dès lors qu’on a un déjeuner d’affaire à l’hôtel de Crillon, ce qui est arrivé à l’une de mes connaissances récemment. Elle m’a rapporté que dans cet établissement il nous en coûtera 47 €, soit 18 fois plus cher que le croque-monsieur bas de gamme des supermarchés (je suis allée vérifier exprès), soit 4,75 fois le taux horaires brut du SMIC.
Comment ce fait-il qu’un même trajet de train puisse coûter un jour 30 €, un autre 70 € et un autre encore 180 € ? Pourquoi, moi qui prévois d’aller à Londres dans cinq mois, en suis-je réduite à acheter mes billets de train aujourd’hui ? De payer un aller-retour un peu moins de 100 € quand je sais qu’un aller simple Paris-Londres peut flirter avec les 300 €.
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