Je me promène sur la Coulée verte et me dis que les gens qui m’observent cachés derrière le carreau de leur cuisine doivent se dire « Tiens, y a la folle ! » parce que lorsque je marche je parle toute seule, j’agite les bras, les mains, je converse. Même derrière le masque, ça se voit.